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Dubaï Porta Potty : TPMP détaille le traitement infligé aux influenceuses souvent dro.guées
C’est désormais très risqué de se faire appeler influenceuse ou star de télé depuis l’explosion du scandale des toilettes mobiles (Porta Potty) sur les réseaux sociaux.
De nombreuses influenceuses sont accusées de scatophilie aux Émirats Arabes, Gilles Verdez est revenu sur cette histoire dans TPMP. Il a délivré un récit glaçant sur certaines célébrités prises au piège par des millionnaires.
Dubaï Porta Potty version de Gilles Verdez
Depuis le 30 avril, le hashtag #dubaiportapotty fait grand bruit sur les réseaux sociaux. Le blogueur Wassim TV a mis en avant certaines pratiques choquantes de stars de télé-réalité installées à Dubaï.
Selon lui, certaines d’entre elles seraient escortes et iraient très loin pour s’assurer un train de vie luxueux aux Émirats Arabes.
Milla Jasmine, star des Marseillais, a ainsi été accusée de scatophilie. La jeune femme est sortie du silence et a pris des mesures contre les personnes qui l’accusent de telles rumeurs. Elle a pris la parole et a démenti être impliquée dans l’affaire Dubaï Porta Potty.
Dans TPMP, Gilles Verdez est revenu sur l’affaire Dubaï Porta Potty et a expliqué que des influenceuses sont victimes de ces pratiques déviantes.
« Elles étaient recrutées pour des soirées, elles ne savaient pas forcément que des pratiques scabreuses ou dégoûtantes allaient se produire », a-t-il commencé par dire.
Des influenceuses victimes de chantage à Dubaï
Selon le chroniqueur de Touche pas à mon poste, plusieurs stars impliquées dans l’affaire Dubaï Porta Potty auraient été prises au piège par des millionnaires. Elles auraient été obligées de se livrer à la scatophilie et à la zoophilie.
« Elles se trouvaient souvent face à quatre hommes et étaient forcées à des choses. […] Parfois, elles étaient droguées. Donc après, il y avait effectivement défécation sur elles, elles étaient forcées à manger leur vomi, à avoir des rapports sexuels avec des animaux », a-t-il dévoilé.
Certaines jeunes femmes auraient ainsi été victimes de chantage afin de se plier aux exigences des clients milliardaires.
« Le chantage, la drogue et on confisque les papiers », a dit Gilles Verdez dans TPMP. Les influenceuses étaient ainsi forcées à se livrer aux pratiques des clients et étaient victimes de violences pour certaines. Sans leurs papiers, elles étaient dans l’incapacité de rentrer chez elles.